Terminales ES - L

Ressources adaptées au programme de mathématiques de terminale ES/L


Le programme commun des terminales ES et L (B.O. 2011) est disponible en version pdf.

Il est découpé en trois grands thèmes, et assorti de deux capacités transversales. Cliquez sur les différents thèmes pour obtenir une liste de ressources CultureMATH correspondantes.

  1. Analyse
  2. Statistique et probabilités
  3. Enseignement de spécialité (filière ES)

Deux capacités transversales :

 
Articles du programme de Terminales ES - L

Je traite ici de deux réformes de l’enseignement des mathématiques dans la France du XXe siècle : la réforme des lycées de 1902 et celle des mathématiques modernes dans les années 1960-70. Dans une première partie j’examine les rhétoriques de la modernité dans ces deux réformes, les mathématiques étant « d’évidence » du côté de la modernité. Dans une deuxième partie, je m’intéresse aux hommes qui ont développé ces différentes rhétoriques, aux différentes sphères d’acteurs de ces deux réformes, l’APMEP, née donc après la réforme de 1902, étant un des acteurs déterminant des années 1950-1960.

A partir du chat de Philippe Geluck, Daniel Justens nous propose ces monologues du chat qui se veulent un voyage rapide et impertinent dans les profondeurs des fondements des mathématiques et de l'âme humaine. La ritualisation du doute et ses multiples expressions, concrétisées dans les propos faussement naïfs de Philippe Geluck et de sa créature et double virtuel, apparaissent en pleine lumière et nous livrent un message fondamental en répondant enfin à cette question essentielle : à quoi servent les maths?

Les ouvrages d’histoire générale des mathématiques font peu de place à la Renaissance. En général, on mentionne la redécouverte des textes grecs de l’Antiquité et la résolution des équations du troisième degré par les algébristes italiens. Pourtant, les mathématiques de cette période, et en particulier l’algèbre, posent des problèmes spécifiques, qu’il vaut la peine d’étudier pour eux-mêmes. Héritiers d’une partie de l’algèbre arabe mais aussi de l’arithmétique pratique, les algébristes de la Renaissance tentent de donner un fondement théorique solide à une discipline encore balbutiante.

La démonstration contemporaine la plus répandue de la décomposition de Jordan d’un endomorphisme f, appartenant à EndK(E), de polynôme caractéristique scindé, découle d’une décomposition d’un espace vectoriel E de dimension finie sur un corps K  en sous espaces caractéristique sous  l’action de l’opérateur f.

Le chapitre 3 du dossier Le théorème des restes chinois est consacré au mémoire de Leonhard Euler (Bâle 1707 – Saint- Pétersbourg 1783), intitulé Solution du problème arithmétique : trouver un nombre qui, divisé par des nombres donnés, donne des restes donnés. Nous allons étudier des passages de ce mémoire reproduit dans le chapitre 3, auquel nous renvoyons le lecteur. Euler y résout un problème vieux de plusieurs siècles.

Chaque année à Paris, entre les mois de mai et juin, se tient le traditionnel Salon "Culture et Jeux Mathématiques" organisé   par le Comité International des jeux Mathématiques.

La deuxième édition du Forum Emploi Mathématiques, qui s'est tenue le vendredi 11 janvier 2013 à Paris, a été une nouvelle fois l'occasion de mettre en contact étudiant-e-s, entreprises et organismes de recherche...

Le n° 34 de MathémaTICE vient de paraître.

L’illusion de la certitude est un obstacle permanent dans la recherche de la vérité, bien plus encore que l’ignorance.  Pourquoi experts et novices sont-ils également maladroits quand il s’agit de manier des probabilités ? Pourquoi des événements extrêmement improbables se produisent-ils tout le temps ? Qu’est-ce qu’un effet cigogne ? Un effet cerceau ?