Terminale S

Ressources adaptées au programme de mathématiques de terminale S


Le programme des premières S (B.O. 2011) est disponible en version pdf.

Il est découpé en trois grands thèmes (plus deux pour l'enseignement de spécialité), et assorti de deux capacités transversales. Cliquez sur les différents thèmes pour obtenir une liste de ressources CultureMATH correspondantes.

  1. Analyse
  2. Géométrie
  3. Statistique et probabilités
  4. Arithmétique (enseignement de spécialité)
  5. Matrices et suites (enseignement de spécialité)

Deux capacités transversales :

 

 
Articles du programme de Terminale S

Cycle de conférences organisées depuis 2006 par la Bibliothèque nationale de France et la Société mathématique de France.
Mêlant histoire et mathématiques, ces conférences permettent à un large public de découvrir les mathématiques contemporaines.
Le principe: le conférencier choisit un texte mathématique datant de plusieurs dizaines d’années, voire bien plus, qui l’a particulièrement influencé...

Le travail qui vous est livré est le résultat d’une réflexion qui s’effectue sur trois registres, philosophique, mathématique et historique. Par ces trois voies, il doit permettre au lecteur d’entrer dans l’oeuvre profonde et difficile du mathématicien Sophus Lie. Si Lie est connu pour les concepts fondamentaux qu’il a introduits (groupes et algèbres de Lie, omniprésents dans les mathématiques), on connaît peu son oeuvre gigantesque dans son ensemble, ses lignes directrices et ses objectifs, et surtout son unité.

L’usage des ordinateurs a ranimé l’intérêt pour des techniques algorithmiques nées en d’autres lieux et d’autres temps. Souvent délaissées par les historiens et les scientifiques modernes, plus attachés à la constitution des concepts, ces procédures s’avèrent pourtant déterminantes dans les élaborations théoriques. Sans prétendre à l’exhaustivité, l’objectif de cet ouvrage est d’offrir un support historique et une épaisseur culturelle aux pratiques algorithmiques contemporaines...

Le nom de Pythagore résonne dans l’histoire de la pensée depuis 2 500 ans. Peu de personnages historiques ont engendré un mythe d’une telle ampleur et dont la persistance est d’autant plus remarquable qu’aucune institution n’entretient sa mémoire. Mais de larges zones d’ombre subsistent et un grand nombre de questions viennent à l’esprit...

Comme tous les peuples du monde, les Mésoaméricains étaient soumis au rythme du dieu Soleil. Des pans entiers de la vie étaient inscrits dans une année organisée en 19 périodes, à savoir dix-huit ‘mois’ de vingt jours et un reste dit des jours inutiles, dormants, innommés…

Harvey et Williams (1981:1078-1079) présentent un tableau extrait d’un codex du XVIe siècle, dit codex Otlazpan. Il contient onze lignes contenant chacune un rectangle (avec ses largeur et longueur) et un impôt composé de trois sortes de tributs (pièces d’argent, charges de bois, têtes de volaille).

En raison d’une tradition qui remonte à l’Antiquité, les nombres nous apparaissent souvent comme l’objet privilégié de la pensée mathématique et philosophique. Ce prestige particulier fait pourtant oublier que – bien avant qu’ils ne deviennent l’objet de spéculations théologiques ou philosophiques – les nombres ont d’abord été l’outil de la pensée scientifique et économique et qu’ils ont servi à la gestion politique des États.

Ce texte a été écrit à la fin de ma thèse, pour essayer de donner aux non-mathématiciens une idée du monde dans lequel j’avais baigné pendant quelques années. C’était l’occasion de présenter rapidement, à travers quelques exemples, la théorie des systèmes dynamiques.